Quand les ingénieurs préfèrent les grenouilles bavardes aux petites amies… et les femmes à la logique pure
Une grenouille bavarde et un ingénieur pragmatique
Il était une fois un ingénieur pressé. Ce n’est pas un conte de fées ordinaire, c’est même une blague culte du genre. Pas de prince charmant, mais une grenouille qui parle. Pas de baiser magique, mais un choix pour le moins étonnant. Et surtout, une punchline qui résume à elle seule l’esprit cartésien poussé à son paroxysme.
Un jour donc, alors qu’un ingénieur traverse tranquillement la rue, une grenouille l’aborde (comme ça, sans détour) :
– Si tu m’embrasses, je me transforme en princesse magnifique !
L’ingénieur, loin d’être surpris, ramasse la bestiole et la met dans sa poche.
La grenouille insiste :
– Si tu m’embrasses, je reste avec toi une semaine.
Pas de réaction.
Elle tente le tout pour le tout :
– Je resterai une semaine entière… et je ferai tout ce que tu veux !
Et là, l’ingénieur sort la grenouille, lui sourit gentiment… et la remet dans sa poche.
Devant tant de froideur, la grenouille finit par demander :
– Mais enfin, pourquoi tu ne m’embrasses pas ?
– Écoute, répond-il, je suis ingénieur. Je n’ai pas le temps pour une petite amie. Mais une grenouille qui parle ? Ça, c’est cool.
Conclusion : quand on a un cerveau en mode logique permanente, on peut manquer quelques opportunités sociales.
Deux ingénieurs, un mât et une femme géniale
Autre scène, autre gag. Deux ingénieurs tentent de mesurer la hauteur d’un mât. Problème : ils n’ont pas d’échelle.
Une femme passe par là, sort une clé à molette de son sac, dévisse le mât, le pose au sol, prend un mètre ruban et dit :
– 6,56 mètres exactement.
Puis s’en va, comme si de rien n’était.
Les deux collègues se regardent, perplexes. L’un finit par dire :
– C’est toujours pareil. On demande la hauteur, et elle nous donne la longueur…
Et depuis ce jour, ces deux brillants esprits ont abandonné leurs postes d’ingénieurs pour servir aujourd’hui au Parlement.
Moralité : parfois, la solution est tellement simple qu’un ingénieur ne la voit même pas venir.