Fidji Ruiz dévoile son visage sans filtre : la pression médiatique atteint son paroxysme
En cette fin d’année 2025, Fidji Ruiz fait à nouveau parler d’elle — non pas pour un nouveau projet, mais pour une simple apparition sans maquillage. Ce geste ordinaire, pourtant banal dans la vie de millions de femmes, devient soudain viral, suscitant une pluie de commentaires cruels sur les réseaux sociaux. Entre stress post-accident, polémiques conjugales et regards impitoyables, l’ancienne candidate de télé-réalité incarne aujourd’hui le prix à payer pour vivre sous le feu des projecteurs.
Une santé fragile après un grave accident
L’été dernier, Fidji Ruiz et son mari Anas Benturquia ont été victimes d’un violent accident de la route. Depuis, la jeune maman peine à retrouver un équilibre. En octobre 2025, elle a dû être hospitalisée en urgence après avoir ressenti des engourdissements inquiétants. Les examens ont heureusement écarté tout risque d’AVC : une forte fièvre et un état de stress aigu expliquaient ses symptômes.
Depuis, Fidji a reconnu souffrir d’angoisses récurrentes. « Je suis devenue très stressée », a-t-elle confié à ses abonnés. Cette fragilité psychologique intervient dans un contexte déjà tendu, marqué par des tensions publiques autour de son couple et de son image.
Polémique autour des propos d’Anas Benturquia
Peu après l’incident médical, une interview d’Anas Benturquia diffusée à la télévision algérienne a relancé la controverse. Souhaitant défendre la conversion de Fidji à l’islam — qu’il affirme antérieure à leur rencontre —, il a ensuite déclaré : « Moi, je me suis marié pour que ma femme me fasse à manger. Ça sert à quoi sinon ? »
Ces propos, perçus comme archaïques par une large partie de l’opinion publique, ont provoqué un tollé sur les réseaux. Pour beaucoup, ils réduisent la femme à un rôle domestique, en totale contradiction avec l’image de modernité que Fidji Ruiz a longtemps cultivée.
L’apparence sans fard, nouvel enjeu médiatique
@lagoziere #fidjiruiz #maevaghenamm #camelia ♬ son original – LaGoziere
Récemment aperçue sans maquillage aux côtés de Maeva Ghennam, Fidji Ruiz a été submergée par une vague de critiques virulentes. Des internautes ont jugé son visage « méconnaissable », d’autres lui ont attribué faussement plus de 50 ans, quand certains allaient jusqu’à suggérer qu’elle aurait subi des transformations esthétiques excessives.
Pourtant, il s’agit simplement d’une femme de 36 ans marquée par le stress, la fatigue et les épreuves récentes. Mais dans l’univers impitoyable des réseaux sociaux, chaque ride, chaque cernes devient sujet à interprétation — voire à moquerie. Cette réaction collective illustre le double standard imposé aux femmes publiques : elles doivent être parfaites, même quand elles choisissent la transparence.
Quand la vie privée devient un spectacle public
Fidji Ruiz incarne aujourd’hui un paradoxe contemporain. Célébrée pour son authenticité dans les émissions de téléréalité, elle est aujourd’hui sanctionnée pour la moindre trace de vulnérabilité. Son visage sans filtre, loin d’être un scandale, révèle surtout l’étendue de la pression exercée sur les personnalités féminines.
Dans un paysage médiatique où l’image prime sur l’humain, chaque détail physique est scruté, commenté, jugé. Pourtant, ce que montre Fidji Ruiz, c’est quelque chose de profondément humain : la fatigue après un traumatisme, le poids des attentes, et le courage de rester visible malgré tout.
Alors que 2025 s’achève, son histoire invite à repenser notre rapport à la célébrité — et à la bienveillance.
