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« Mais bien sûr, j’étais un très, très bon élève ! » : Jordan Bardella et la rencontre inattendue avec sa maîtresse de CE2

Il ne s’attendait probablement pas à ça. En pleine tournée de promotion de son livre La Réponse, Jordan Bardella a été interpellé par une voix venue tout droit de son passé. Celle de sa professeur de CE2, venue le saluer lors d’une séance de dédicace — une scène aussi touchante que surprenante. Et quand elle a évoqué ses résultats scolaires, la réponse du président du Rassemblement National a fait sourire plus d’un : « Mais bien sûr, j’étais un très, très bon élève ! »

Une anecdote qui fait le buzz

L’échange, survenu à l’occasion d’une dédicace à Paris, a rapidement circulé sur les réseaux sociaux. La maîtresse, aujourd’hui à la retraite, se souvient avec fierté de son ancien élève : moyenne de 18,5 sur 20 en fin d’année scolaire, discipline irréprochable, participation active en classe. « Il était toujours volontaire, curieux, et très respectueux », a-t-elle confié.

Bardella, visiblement ému, n’a pas nié. Au contraire, il a confirmé avec un sourire amusé : « C’est vrai, j’étais sérieux à l’école. » Un rare moment de légèreté pour une figure politique souvent au cœur des polémiques.

Pourquoi cette anecdote résonne autant ?

Dans un paysage médiatique saturé de tensions, les histoires humaines ont le pouvoir de désarmer. Celle-ci rappelle qu’avant d’être un dirigeant politique, Jordan Bardella a été un enfant — un élève comme les autres, avec ses devoirs, ses maîtresses, et ses bulletins scolaires. Ce retour aux sources humanise une personnalité souvent perçue comme polémique.

Et puis, il y a cette note d’excellence scolaire : 18,5. Une performance suffisamment exceptionnelle pour marquer les mémoires, mais aussi suffisamment précise pour sonner authentique. Pas de surjoué, pas de forfanterie — juste un souvenir partagé, spontané.

Entre mémoire collective et récit personnel

Ces rencontres impromptues entre une figure publique et un témoin de son enfance ne sont pas si rares — mais elles sont toujours révélatrices. Elles offrent un contrepoint intime aux récits médiatiques, souvent formatés. Ici, point de calcul politique : seulement un ancien élève et sa maîtresse, réunis par hasard, une génération plus tard.

Elles rappellent aussi l’importance des premiers enseignants dans la construction d’un individu. Qu’il devienne ministre, artisan ou artiste, chacun porte en soi les traces de ces premières années d’apprentissage.

Karim

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Une réflexion sur “« Mais bien sûr, j’étais un très, très bon élève ! » : Jordan Bardella et la rencontre inattendue avec sa maîtresse de CE2

  • Bernard Clarinval

    Je me souviens de la lettre qu’Albert Camus avait écrite à son instituteur au moment où il venait d’apprendre qu’il allait recevoir le prix Nobel de littérature. Il y a un point commun, mais beaucoup de différences. Par exemple, Camus préférait la justice à la politique politicienne.

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