Il plante ses poulets… et ça coûte cher !
Un Parisien, lassé du bruit, des embouteillages et des regards en coin dans le métro, décide un beau jour de tout plaquer pour la campagne. Direction Loches, où il déniche une petite fermette à prix doux. Parfait pour débuter une nouvelle vie… et une carrière d’éleveur de poulets.
Quelques jours après l’emménagement, son voisin — aviculteur chevronné — frappe à sa porte avec un sourire bienveillant :

« Élever des poulets, c’est pas de la tarte aujourd’hui. Alors, par solidarité, je te prête 1000 poulets. Tu me les rendras quand tu auras des sous devant toi. »
Touché par ce geste, le néo-fermier accepte avec gratitude. Mais deux semaines plus tard, catastrophe : tous les poulets sont morts.
Le voisin, sceptique mais généreux, lui en prête 1000 autres. Nouvelle tentative. Nouvel échec. Deux semaines après, plus un seul volatile ne picore.
Exaspéré, le voisin demande : « Mais qu’est-ce qui se passe ? Comment ils meurent tous ? »
Et le Parisien, l’air sincère, répond :
« Ben… je ne suis pas encore sûr. Soit je les plante trop profonds, soit je les plante trop serrés… »
