Quand la quête d’intimité tourne au désastre en public : une histoire qui fait (trop) d’étincelles
Il était une fois deux collègues partageant le même bureau. Un vendredi après-midi, l’une d’elles affichait un air morose. Sa camarade, inquiète, lui demanda ce qui n’allait pas. Après un soupir, elle avoua, à voix basse : « C’est mon compagnon… sur le plan de l’intimité, il n’est plus du tout en forme. C’est devenu complètement plat. »
Une solution miracle… ou presque
Sa collègue, l’œil pétillant, sortit alors une petite fiole de son sac. « Tiens, trois gouttes dans son assiette ce soir, et tu verras : il va redevenir un véritable volcan ! » Dubitative mais curieuse, la première accepta le précieux élixir.
Le lundi suivant, les deux femmes se retrouvent au bureau. L’amie, impatiente, interroge : « Alors ? Ça a marché ? »
« Oh oui… beaucoup trop bien », répond l’autre, gênée.
Elle raconte alors que, pendant le repas, son compagnon a laissé tomber sa serviette. Profitant de ce qu’il se penchait, elle a versé… non pas trois gouttes, mais **la moitié de la fiole** dans son potage.
Dix minutes plus tard, l’effet fut immédiat. « Il m’a regardée avec une intensité folle, a balayé la table d’un geste, et m’a… emportée sur la table comme un ouragan. » L’histoire ne s’arrête pas là : au sol, contre le mur, puis contre la porte de la cuisine — chaque surface est devenue le théâtre d’une passion débordante.
« Tu dois être aux anges ! » s’exclame la collègue.
« Euh… oui… enfin… », hésite l’autre.
« Mais quoi ? Tu voulais de la passion, tu l’as eue ! »
« Oui… sauf qu’on ne pourra plus jamais remettre les pieds dans ce restaurant. »
Car oui — ce fameux dîner n’avait pas lieu à la maison, mais dans un établissement public. Et les serveurs,les autres clients, et surtout le gérant, n’ont pas apprécié le spectacle improvisé.