Findus, un plat à déguster avec modération !
Parfois, les meilleures blagues sont aussi simples que le contenu d’un congélateur. Et quand la cuisine tourne à la chanson publicitaire, il faut s’accrocher.
Findus un jour, Findus toujours !
Un homme rentre du travail. Il se met à table, fatigué mais affamé. Sa femme arrive fièrement avec un plat de hachis parmentier maison… ou presque. Elle sourit, le regarde dans les yeux, et entonne d’un air inspiré : « Heureusement qu’il y a Findus, Findus. »
Le lendemain soir, même scène. Le mari se retrouve face à une brandade de morue surgelée. Pas de commentaire, juste la chanson qui reprend, sur le même ton lyrique : « Heureusement qu’il y a Findus, Findus. »
Troisième soir. Les lasagnes surgelées font leur retour. Et la mélodie aussi. « Heureusement qu’il y a Findus… Findus. » L’homme commence à avoir des doutes. Sur son régime. Sur sa vie. Mais surtout sur le répertoire musical de son épouse.
La soirée se termine tranquillement. Direction la chambre. Le mari, peut-être un peu excité par ces trois jours de saveurs culinaires industrielles, tente une approche romantique. La femme, catégorique, répond : « Non, pas ce soir. J’ai mes trucs. »
Il ne se laisse pas abattre. Du moins pas tout de suite. Il la retourne doucement, pose un bras derrière la tête, et murmure tendrement : « Heureusement qu’il y a l’ann-nnuu… uussss, l’ann-nnu… uus-sss. »
C’est là qu’on comprend que Findus, c’est bien. Mais l’annuaire, c’est parfois mieux.
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