« On accueille des réfugiés et après ils tuent nos enfants » : le cri déchirant d’un père après la mort de son fils à Dax
Le drame qui s’est produit à Dax, dans les Landes, a profondément marqué l’opinion publique. Benoît, un adolescent de 17 ans, a été poignardé à mort lors des festivités du sacre du PSG en Ligue des Champions. Son père, effondré mais déterminé, a exprimé publiquement sa colère face à une situation qu’il juge insoutenable : une montée de la violence liée selon lui à une immigration mal contrôlée. Derrière cette tragédie familiale se pose une question sociale complexe.
🔴 "J'ai la haine"
À Dax, le discours poignant du père de Benoît, mortellement poignardé par "un réfugié", samedi dernier. Un hommage lui est rendu. Benoît devait fêter ses 18 ans, ce vendredi.@Valeurs pic.twitter.com/ORhGnQ9l3w
— Nicolas Boutin (@NicolasBoutin11) June 6, 2025
Un meurtre qui bouleverse une communauté
Benoît aurait dû fêter ses 18 ans ce jour-là. Au lieu de cela, sa famille et ses proches ont organisé une cérémonie émouvante pour lui rendre hommage. Selon les premiers éléments de l’enquête, tout est parti d’un différend autour d’une casquette volée. Le jeune homme aurait retrouvé son voleur, un mineur déjà connu des services de police, sur rendez-vous.
Ce dernier, au lieu d’affronter la situation avec courage comme le prônait Benoît, a sorti un couteau et lui a porté cinq coups fatals en pleine poitrine . Un geste lâche, selon les mots mêmes du père de la victime, qui ne cache pas sa rage ni son chagrin.
« Quand on règle un différend, on le fait à mains nues »
Devant plus de 600 personnes rassemblées pour honorer la mémoire de son fils, le père de Benoît n’a pas mâché ses mots :
- « En France, on accueille des réfugiés qui sont hébergés, nourris, et après ils tuent nos enfants. »
- « C’est ça, la France d’aujourd’hui. J’espère qu’elle changera un jour parce que ça ne peut plus durer. »
Ces paroles, prononcées avec force et douleur, résonnent comme un cri du cœur. Pour cet homme, il ne s’agit pas seulement de vengeance, mais bien d’un constat amer sur l’état de la société actuelle.
Un appel à la fermeté et au changement
Loin de vouloir encourager la haine ou la xénophobie, le père de Benoît appelle à une prise de conscience. Il souligne un problème récurrent : l’échec de l’intégration et l’insécurité croissante dans certaines zones urbaines.
Il rappelle que si son fils a perdu la vie, ce n’est pas dans une bagarre ordinaire, mais face à quelqu’un qui, selon lui, ne respecte rien. « Comme je le disais à Benoît : quand on règle un différend, on le fait à mains nues comme un homme. Et Benoît était courageux », affirme-t-il, rempli de fierté malgré la douleur.
Sources :
- Journal du Dimanche – Faits divers (rubrique actualisée)
- La Nouvelle République – Informations locales sur Dax