Regrets déchirants : à 63 ans, le féminisme extrême l’a laissée seule sans enfants
Imaginez passer sa vie à combattre pour l’égalité, pour finir seule à table, un verre à la main. Kate Mulvey, journaliste et écrivaine britannique, livre un témoignage brut qui secoue. À 63 ans, elle accuse le féminisme d’avoir détruit sa vie amoureuse. Une confession qui interroge les dérives du mouvement.
Qui est Kate Mulvey ?
Kate Mulvey compte 63 ans. Journaliste talentueuse, elle n’a jamais connu le mariage ni la maternité. Sa trajectoire ? Une série de relations avortées, la plus longue durant huit ans seulement.
Tout bascule à 17 ans. En Grande-Bretagne, elle embrasse le mouvement de libération des femmes. Bientôt, elle se voit comme une féministe brillante, refusant de céder le dernier mot à quiconque.
Sa vie amoureuse en chiffres
- Âge : 63 ans
- Statut : célibataire, sans enfants
- Relation la plus longue : 8 ans
- Motivation : idéaux féministes radicaux
Pourquoi le féminisme a-t-il ruiné sa vie ?
Aujourd’hui, Kate Mulvey l’affirme sans détour. Le féminisme de la deuxième vague a saboté ses chances de couple. Au lieu d’émanciper, ces idées l’ont convaincue de fuir mariage et vie domestique. Pire, elles ont transformé les hommes en rivaux, non en partenaires.
“Je réserve une table pour une à 63 ans parce que le féminisme a gâché ma vie amoureuse.”
Elle dénonce une génération piégée par ces idéaux. Rabaisser les hommes ? Une erreur fatale, selon elle.
Quand et comment tout a dérapé
Les années 70 marquent le tournant. Kate adopte un féminisme radical. Pas d’égalité pure, mais une quête d’indépendance absolue. Les hommes deviennent des adversaires à dominer intellectuellement.
Elle bombait le torse en dîner. Les fleurs ? Dédaignées. Les débats ? Elle gagnait toujours. Résultat : ses partenaires s’effaçaient.
Ses regrets confessés
- Rabaisser les hommes au nom de l’égalité
- Confondre ambition et mépris
- Utiliser l’esprit comme une armure
- Finir seule à 63 ans
Le féminisme extrême vs l’égalité vraie
Le vrai féminisme milite pour l’égalité hommes-femmes. Mais ses excès transforment les hommes en oppresseurs. Kate Mulvey incarne ce basculement. Des années à se sentir supérieure, pour aboutir à la solitude regret féminisme.
Son cri d’alarme résonne. À 63 ans, elle paie le prix d’un féminisme dévoyé. Une leçon pour les générations futures ?
