Il a tout perdu… et il dort comme un bébé — la réponse qui a tué Internet
Marcel croise Gérard, son vieil ami, après deux mois sans nouvelles. Il lui demande comment il va.
— Je dors comme un bébé.
Deux mois plus tard : Gérard est seul, au chômage, sa femme l’a quitté pour son ex-patron.
— Je dors comme un bébé.

Un mois après : ses parents sont morts.
— Toujours comme un bébé.
Marcel, éberlué : « Mais comment tu fais ? »
Gérard, d’une voix calme : « Je dors une heure, je pleure une heure, je dors une heure. »
La chute n’est pas une blague. C’est une leçon.
Et c’est peut-être la plus française des réponses à la souffrance :
pas de dramatisation, pas de victimisation.
Juste un rythme. Un silence. Un sommeil entre deux larmes.
