Quand les services secrets belges testent la loyauté… à coups de chaise !
Les services secrets belges cherchent leur agent le plus fiable. Après des semaines de tests éreintants, seuls trois candidats restent en lice.
Pour la dernière épreuve, on les conduit devant une lourde porte métallique et on leur tend un pistolet.
— « Peu importe ce que vous verrez, vous devez obéir. Derrière cette porte, votre femme est assise. Vous devrez la tuer. »

Le premier recule aussitôt :
— « Sérieusement ? Jamais je ne pourrais faire ça ! »
— « Alors, ce métier n’est pas pour vous. »
Le deuxième entre, pistolet en main. Cinq minutes de silence… puis il ressort, les yeux humides :
— « J’ai essayé… mais je n’ai pas pu. »
On le remercie gentiment et on lui rend sa femme.
Vient enfin le troisième. Il saisit l’arme, pousse la porte… et c’est le chaos.
Coups de feu. Cris. Meubles qui volent. Bruits de lutte sauvage contre les murs.
Le silence retombe. La porte s’entrouvre.
L’homme sort, essoufflé, en sueur, et lâche, exaspéré :
— « Vous auriez pu me dire que le pistolet était chargé à blanc ! J’ai dû la finir avec la chaise… »
Une scène digne d’un sketch culte, où l’absurde rencontre la blague belge dans toute sa splendeur — un classique du rire francophone qui continue de faire mouche, même en 2025.
