Le moine, le moineau… et la bouse qui chante — une fable absurde avec 3 leçons de vie TERRIBLEMENT vraies
Imaginez : un moine tibétain, seul sur un sentier gelé, entouré de silence et de neige. Soudain… un petit cri. Faible. Désespéré. Il baisse les yeux. Là, tremblant dans l’herbe gelée : un moineau, à peine vivant. Le cœur du moine s’emballe. Que faire ? Le sauver… ou le condamner ?
Le dilemme du moine : entre compassion et pragmatisme
Il le prend dans ses mains. Le petit corps frissonne. Il le réchauffe. Mais l’esprit du moine tourne à plein régime.

“Si je le garde, il salira ma robe. Et au monastère… le chat du cuisinier le dévorera.”
“Si je le laisse ici… il gèlera avant la nuit.”
Un silence. Un souffle. Et soudain… l’illumination.
La solution inattendue : la bouse sacrée
Le moine, d’un geste calme, dépose l’oiseau dans une bouse de vache encore fumante. Oui. Vous avez bien lu. Une bouse. Chaude. Fumante. Parfaitement isolante. L’oisillon, surpris, cesse de trembler. Puis… se réchauffe. Puis… reprend vie.
Et là… il fait ce que tout oiseau heureux fait : il chante. À tue-tête. De joie. De soulagement. De gratitude ? Peut-être.
Un renard, tapi derrière un rocher, l’oreille aux aguets, entend quelque chose d’inouï : une bouse… qui chante.
Curieux. Intrigué. Affamé.
Il s’approche. Fouille la bouse du museau. Et… croc. Le moineau disparaît. D’un coup. Sans crier gare. Sans même finir sa chanson.
Fin de l’histoire ? Non. Début des leçons.
Celui qui te met dans la merde ne te veut pas forcément du mal
Celui qui t’en sort ne te veut pas forcément du bien
Quand tu es dans la merde… ferme ta gueule !