Emmanuel Macron embrassé à New York – Réaction surprise
Un instant insolite en pleine mission diplomatique
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C’était mardi, dans le cadre de sa participation à l’Assemblée générale des Nations unies. Emmanuel Macron venait de prononcer un discours sur la reconnaissance de l’État de Palestine et se trouvait à pied dans une artère new-yorkaise. Il téléphonait même à Donald Trump — oui, vraiment — pour lui raconter, en anglais, qu’il ne pouvait pas traverser la rue à cause du convoi présidentiel américain. « Guess what ? », lance-t-il avec un sourire en coin.
Peu après, des passants l’interpellent pour une photo. Rien d’anormal pour un chef d’État en déplacement. Sauf qu’un homme, visiblement admiratif, ne se contente pas du selfie : il dépose un rapide baiser sur la tempe du président.
Des gardes du corps tendus, un président détendu
Les agents de sécurité réagissent aussitôt, prêts à intervenir. Mais Emmanuel Macron les arrête d’un geste et d’une phrase calme : « Non, non, c’est bon, c’est bon, les gars ! » Il ajoute, presque amusé : « C’était un bisou ! »
Une attitude qui tranche avec le protocole habituel. Ici, pas de recul protocolaire, pas de froideur présidentielle. Juste un homme qui, l’espace d’un instant, accepte la spontanéité d’un citoyen — même à l’étranger.
Une tradition… à sens unique ?
Ce n’est pas la première fois qu’Emmanuel Macron est au cœur d’une scène intime et médiatisée. En 2017, au Touquet, il avait lui-même embrassé un sympathisant… sur le crâne, reprenant un geste popularisé par Laurent Blanc lors de la Coupe du monde 1998. Depuis, ce rituel s’est répété à chaque élection : 2019, 2022… toujours le même homme, toujours le même crâne chauve, toujours le même baiser.
Mais cette fois, c’est lui qui reçoit l’attention. Et il la prend avec une légèreté rare pour un homme habitué aux discours solennels et aux sommets internationaux.
Pourquoi cette scène fait réagir
Parce qu’elle montre un Emmanuel Macron accessible, presque vulnérable. Parce qu’elle se déroule à New York, loin des caméras françaises et des enjeux hexagonaux. Et parce qu’elle illustre, en quelques secondes, le contraste entre la rigidité du protocole présidentiel et la chaleur imprévisible du contact humain.
Les internautes, les journalistes et même le reporter Rémy Buisine — qui qualifie la vidéo de « l’une des plus improbables » de sa carrière — y voient un moment authentique, presque cinématographique.
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