La blague du bus : Une réplique cinglante qui fait mal (Et même très mal)
Une scène qui pourrait sembler anodine dans un bus bondé se transforme en une véritable leçon de vie — ou plutôt, une claque verbale magistrale. Cette blague courte mais terriblement efficace met en lumière l’art subtil de la répartie… et parfois aussi la cruauté des souvenirs qu’on préfère garder enfouis.
Un bus plein à craquer
Nous sommes en 2025. Un bus rempli à ras bord. Personne ne cède sa place à une vieille dame s’appuyant sur sa canne avec toute la dignité du monde. Elle tient bon. Trop bon. Jusqu’à ce que l’autobus freine brutalement, la canne glisse… et elle tombe. Pas de bol pour elle, mais surtout pas de bol pour celui qui va lui répondre.
Alors qu’elle se relève tant bien que mal, un petit garçon, assis tranquillement sur son siège, ose cette remarque pleine de bon sens mais dénuée de tact :
– « Vous savez madame, si vous aviez mis un petit bout de caoutchouc au bout de votre canne, vous ne seriez pas tombée ! »
Il faut dire ce qui est : techniquement, il n’a pas tort. Mais entre avoir raison et savoir quand le dire… il y a une nuance. Et celle-ci va lui exploser à la figure comme un retour de karma version grand-mère.
Sans même chercher à comprendre, la vieille dame lui balance froidement, sans aucune pitié :
– « Et si ton père avait fait la même chose, il y a six ans, j’aurais eu un siège aujourd’hui, non mais quel toupet ! »
Le silence se fait. Le temps s’arrête. Les autres passagers baissent les yeux. Le chauffeur ralentit légèrement, comme pour respecter ce moment historique de honte sociale et de génie absolu. La balle est dans le camp de la petite victime collatérale… qui vient de perdre sa confiance en lui pour les six prochaines années.
Conseil bonus : si vous croisez une vieille dame avec une canne, offrez-lui un siège… ou vérifiez qu’elle n’est pas votre mère cachée. On n’est jamais trop prudent.
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