Alice et le camionneur : Une blague légère comme un printemps
Il y a des rencontres qui marquent les esprits, même quand elles ne durent que le temps d’un feu rouge. C’est exactement ce qui arrive dans cette petite histoire toute simple, mais terriblement efficace.
Mais Alice n’abandonne pas
Un camionneur roule tranquillement sur une route nationale, quand soudain, au premier feu rouge, il est rattrapé par une conductrice blonde. Elle sort précipitamment de sa voiture et frappe à la portière du camion. Curieux, le camionneur baisse la vitre.
Bonjour, mon nom est Alice, dit-elle avec le sourire. Et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison.
Le camionneur hausse les épaules, remonte sa vitre et continue sa route. Ce n’était peut-être qu’une mauvaise blague ou une erreur de jeune conductrice pressée.
Quelques centaines de mètres plus loin, le camion s’arrête à un autre feu rouge. Et comme un mauvais remake de film policier, la même scène se répète. Alice descend de sa voiture, court vers le camion, frappe à la vitre et dit, toujours aussi poliment :
Bonjour, je suis Alice et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison.
Le camionneur soupire, remonte sa vitre, et redémarre. Mais cette fois, il commence à se poser des questions. Est-ce une farce ? Un test psychologique ? Ou bien… est-ce lui qui a oublié quelque chose ?
Quand le feu passe au vert, c’est lui qui prend les devants. Il accélère, gare son camion, descend rapidement et court jusqu’à la voiture d’Alice. Il frappe à la vitre, elle baisse la fenêtre, surprise.
Bonjour, je suis André, dit-il, essoufflé. C’est l’hiver, et je conduis un CAMION DE SALAGE.
Et là, silence. Alice comprend enfin qu’elle vient de passer pour une… disons, pas la plus fine observatrice de la route.
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