Quand le psaume 129 cache une opportunité manquée
Un prêtre roule tranquillement quand il repère une religieuse en pleine séance de stop. Bon samaritain, il freine. Elle monte, croise les jambes… et là, bing : ses cuisses valent presque une messe en latin.
Le pauvre homme en perd presque le contrôle du volant. Une fois calmé, il tente un geste — juste une main posée, légère, sur sa jambe. La religieuse, sans se démonter, lance : « Mon père, pensez au psaume 129 ! »
Confus, il s’excuse. Mais les yeux trahissent toujours le cœur… Quelques minutes plus tard, rebelote : sa main revient à l’assaut. Nouvelle réplique cinglante : « Mon père, pensez au psaume 129 ! »
Rouge comme une chasuble un dimanche de Pentecôte, il bredouille : « Pardonnez-moi, ma sœur… la chair est faible. » Il la dépose au couvent, fonce à l’église et ouvre la Bible en tremblant.
Il lit enfin le fameux psaume 129 : « Va plus loin, mon fils, cherche plus haut… alors tu seras dans l’allégresse et tu trouveras la gloire ! »
Moralité ? Dans la vie comme au volant, mieux vaut vérifier ses sources avant de freiner trop tôt.