Elle ne parle jamais d’argent. mais ce qu’elle gagne pour 5 minutes… dépasse l’entendement.
Elle entre. Sans bruit. Sans effet. Juste un sourire, un geste vers la carte, une voix posée qui annonce la pluie ou le soleil. Puis elle s’éclipse. En 300 secondes. Depuis 1991. Presque tous les jours. Pendant que la France dîne, elle résume le ciel du lendemain. Et pendant ce temps-là… TF1 lui verse une somme que personne n’ose prononcer à voix haute. Jusqu’à maintenant.
Qui est-elle vraiment ? La femme derrière le bulletin le plus regardé de France
Évelyne Dhéliat n’est pas une animatrice. Elle est un phénomène. Une constante dans un monde qui change sans cesse. Une voix familière dans un paysage médiatique en perpétuelle réinvention.
Un parcours sans pareil
- 1968 : débuts à l’ORTF — avant même que TF1 n’existe sous sa forme actuelle.
- 1991 : elle prend la météo — et devient le visage le plus rassurant du petit écran.
- 2000 : elle devient directrice du service météo — elle ne lit pas la carte, elle la fait.
- 2025 : à 77 ans, elle est toujours là. En alternance, mais jamais remplacée.
51 ans de maison. Aucun autre présentateur en France — dans aucun média — ne peut en dire autant.
Quoi ? Son rôle… et le pacte secret avec TF1
Elle ne négocie pas. Elle ne tweete pas. Elle ne fait pas de stories. Elle ne révèle rien. Jamais. Évelyne Dhéliat est une forteresse. Même sur son salaire.
Pourtant, les chiffres, eux, ont fini par s’échapper. Pas des rumeurs. Pas des ragots. Des estimations sérieuses — confirmées par Capital, croisées avec les déclarations d’autres présentateurs.
Le chiffre, enfin dévoilé :
Entre 25 000 et 30 000 euros… par mois.
Soit jusqu’à 360 000 euros par an.
Pour 5 minutes. Par jour. En moyenne.
Pourquoi TF1 accepte-t-elle cette somme ?
- Stabilité : dans un monde de turnover, elle est la seule constante.
- Crédibilité : les téléspectateurs lui font confiance — aveuglément.
- Management : elle a formé, encadré, dirigé des générations de météorologistes.
- Image : elle incarne TF1 autant que le logo ou le générique du JT.
Cyril Hanouna, dans TPMP, l’a dit crûment : “Sur TF1, c’est plutôt vers 30 000 euros que vers 15 000.” Et ailleurs ? “5 000 euros, c’est déjà bien.”
Quand et où ? Le plateau, son royaume — Paris, sa ville
Depuis plus de 30 ans, c’est toujours le même décor. Le même écran. Les mêmes gestes. Elle présente du lundi au jeudi, les week-ends aussi — en alternance avec Tatiana Silva et Louis Bodin.
Elle vit à Paris depuis toujours. N’y a jamais quitté. TF1, pour elle, ce n’est pas un employeur. C’est, comme elle le dit souvent, sa “maison”. Son “chez-soi”. Son “E.T.” — référence affectueuse au petit extraterrestre perdu… qu’on a adopté.
Pourquoi ne part-elle pas ? Parce qu’elle ne peut pas… et qu’on ne veut pas
La retraite ? Elle en parle comme d’un horizon lointain. Flou. Incertain.
« Je n’y pense pas. Le jour où on me dira “c’est fini”, j’arrêterai. Mais pour l’instant… ça continue. » — 50 minutes Inside
Elle le répète : “Ça ne dépend pas que de moi.” Et c’est vrai. TF1 la garde. Les audiences la réclament. Les enfants d’hier, devenus parents, veulent la montrer à leurs propres enfants.
Son secret de longévité ?
- Un plaisir authentique — “C’est du bonheur !”, dit-elle.
- Un rythme maîtrisé — pas d’excès, pas de surexposition.
- Une discrétion absolue — pas de polémique, pas de clash.
- Et cette phrase, qu’elle murmure comme une évidence : « TF1, c’est ma maison. »
Le vrai mystère ? Ce n’est pas le salaire… c’est pourquoi personne ne le conteste
30 000 euros par mois pour 5 minutes. Sur le papier, c’est absurde. En pratique ? C’est logique.
Parce qu’Évelyne Dhéliat, ce n’est pas un service. C’est une émotion. Un moment de la journée. Un lien entre les générations. Une voix qui traverse les décennies sans prendre une ride.
TF1 ne paie pas du temps d’antenne. Elle paie de la légitimité. De la sérénité. De la continuité. Et dans un monde qui change trop vite… ça vaut bien quelques milliers d’euros par jour.