Un trou dans le préservatif ? C’est bon pour le business des tétines !
Avant de signer un contrat, un industriel est invité à visiter une usine spécialisée dans les produits en caoutchouc. Le directeur en personne lui sert de guide.
Ils s’arrêtent devant une première machine qui émet un drôle de rythme : Dong… Plouss. Dong… Plouss.
« Vous voyez, explique le directeur, ici on fabrique des tétines pour biberons. Le “dong”, c’est la moulure, et le “plouss”, c’est le perçage du petit trou. Clair ? »

Un peu plus loin, une autre machine ne fait que répéter : Dong, dong, dong, dong…
« Et ça, qu’est-ce que c’est ? » demande l’industriel.
« Des gants de vaisselle, répond le directeur. Comme ils sont étanches, pas de “plouss” — seulement des “dong” ! »
Enfin, ils arrivent à l’atelier des préservatifs. Là, le son change : Dong… Dong… Dong… Plouss. Puis ça recommence.
Le visiteur sursaute : « Votre machine est défectueuse ! Elle perce des trous dans les préservatifs ! »
« Oui, admet le directeur. Un sur quatre sort percé. »
« Mais… ça ruine votre réputation, non ? » s’inquiète l’industriel.
Avec un sourire en coin, le directeur rétorque : « Au contraire ! C’est excellent pour booster les ventes de tétines ! »
