Désespoir Brest France : il sacrifie sa maison face aux squatteurs
Imaginez deux ans à contempler votre bien pillé par des intrus. À Brest, un propriétaire français atteint ses limites face à une famille roumaine de neuf personnes. La justice l’abandonne. Il opte pour l’ultime recours : la destruction.
France 2025 : les squatteurs, protégés par la loi
Le squat explose dans l’hexagone. L’agriculteur du Var avait tenté la tractopelle. Un couple de retraités s’est vu dépossédé en février. À Brest, même scénario tragique.
Depuis 2023, un immeuble de deux étages sert de refuge illégal. Plainte immédiate au commissariat. Proposition de 2000 euros pour un départ volontaire. Les squatteurs refusent tout.
Le 12 octobre 2024 : l’occasion inespérée
Direction Roumanie pour un enterrement familial. Le propriétaire guette. Dès leur absence confirmée, il agit avec précision chirurgicale.
Masses et barres à mine en main. Le plancher du premier étage s’effondre. Les escaliers disparaissent. Réseaux d’eau et d’électricité sectionnés. En quelques heures, le bâtiment devient un squelette inhabitable.
« Je passais tous les jours devant cette honte. Ces familles ont déjà squatté tout le quartier. Personne ne bougeait. J’ai pris mes responsabilités. » – Témoignage au Télégramme.
Retour brutal et conséquences lourdes
Les squatteurs reviennent sur une désolation. Leurs affaires jonchent la rue. Les services sociaux de la mairie prennent le relais pour la famille de neuf personnes.
Le propriétaire inflexible : « Ce logement était déjà un piège mortel, insalubre et dangereux pour tous. » Il risque pourtant trois ans de prison et 30 000 euros d’amende pour ce geste désespéré.
Une faille dans la loi squatteurs France ?
Ce cas brestois cristallise la colère des propriétaires. Face aux squatteurs inéxpulsables, jusqu’où peut-on aller ? La loi expulsion squatteurs France 2025 est-elle adaptée à cette épidémie immobilière ?
