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« Tout le monde rêverait d’avoir un fils comme le mien » : la mère de l’un des assaillants de Sydney défend son innocence

Alors que l’Australie pleure ses victimes après la tuerie de Bondi Beach, une déclaration glace le sang : celle de la mère de l’un des tireurs, qui continue de le dépeindre comme « un bon garçon ». Persuadée de son innocence malgré les preuves accablantes, elle rejette toute idée de préméditation. Qui sont réellement Sajid et Naveed Akram ? Pourquoi ont-ils ouvert le feu sur une foule paisible ? Et comment une famille peut-elle rester en déni face à un tel drame ?

Le drame de Bondi Beach : un dimanche de Hanoukka brisé

Le dimanche 14 décembre 2025 restera marqué dans l’histoire australienne. Sur la célèbre plage de Bondi, une communauté juive célébrait Hanoukka dans une ambiance chaleureuse. Enfants, parents et aînés partageaient un moment de recueillement et de joie — jusqu’à ce que, vers 19 heures, les détonations résonnent. Quarante coups de feu. Seize morts, âgés de 10 à 87 ans. Des dizaines de blessés. Une scène d’horreur immortalisée par des vidéos qui circulent désormais partout.

Deux assaillants, père et fils

Les auteurs de cette tuerie de masse ont été identifiés comme Sajid Akram, 50 ans, et son fils Naveed Akram, 24 ans. Tous deux originaires de Sydney, ils vivaient sous le même toit. Sajid, propriétaire d’un magasin de fruits, a été abattu par la police sur les lieux. Naveed, maçon en recherche d’emploi, a été grièvement blessé mais survit. Les autorités australiennes affirment que rien, à ce stade, n’indique une attaque terroriste planifiée de longue date.

Le témoignage choquant de la mère

Interrogée par la presse locale, la mère et épouse des deux hommes refuse de croire à leur implication. Selon elle, son fils menait une vie simple, rangée, sans accroc. « Il ne boit pas, il ne fume pas, il ne fréquente pas d’endroits malfamés », affirme-t-elle. Elle ajoute, avec une conviction déroutante : « Tout le monde rêverait d’avoir un fils comme le mien. »

Ce même jour, elle affirme avoir reçu un appel de Naveed, qui lui aurait dit avoir « nagé » et « fait de la plongée sous-marine ». Une version totalement contredite par les images montrant le jeune homme armé, en train de tirer sur des civils désarmés.

Pourquoi un tel déni familial ?

Le déni n’est pas rare dans les affaires de violence extrême. Psychologues et sociologues expliquent qu’il s’agit souvent d’un mécanisme de défense face à l’impensable. Admettre que son propre enfant ait pu commettre un massacre de masse implique de renoncer à une image idéalisée construite pendant des années. Dans ce cas précis, l’absence de signes avant-coureurs apparents — du moins selon la famille — renforce ce refus de réalité.

Un événement qui interroge la sécurité publique

Au-delà du drame humain, l’attaque soulève des questions sur la prévention des violences de masse en Australie. Comment deux individus ont-ils pu se procurer des armes à feu ? Existaient-il des signaux d’alerte passés sous silence ? Et surtout, comment éviter que de tels faits ne se reproduisent ? Ces interrogations traversent désormais tout un pays en état de choc.

Karim

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