Blonde et sel de route : la méprise hivernale qui fait (toujours) rire
Il fait froid, le ciel est gris, et les routes sont glissantes. À un carrefour enneigé, un camion s’immobilise au feu rouge. Juste derrière, une voiture s’arrête — et en jaillit une jeune femme pressée.
Elle court jusqu’à la cabine, toque à la vitre et lance, essoufflée : « Bonjour, je suis Stéphanie ! Vous perdez votre marchandise sur la route ! »
Le feu vire au vert. Le chauffeur démarre… sans un mot.
Au feu suivant, rebelote. Stéphanie surgit de sa voiture comme un ressort, tape à nouveau à la vitre : « C’est moi, Stéphanie ! Vous vous souvenez ? Votre chargement fuit ! »

Encore une fois, le feu passe au vert. Le camion repart.
Au troisième feu, elle revient à l’attaque, plus déterminée que jamais : « Je m’appelle Stéphanie, et vous perdez clairement votre marchandise ! »
Cette fois, le chauffeur baisse sa vitre, soupirant à moitié amusé : « Écoutez, moi c’est Stéphane. C’est l’hiver… et je répands du sel de déneigement sur la route. »
Et là, silence. Stéphanie cligne des yeux. Puis retourne à sa voiture — probablement en se promettant d’éviter les camions jusqu’au printemps.
