Quand l’hospitalité tourne au supplice…
Un homme égaré en pleine forêt tombe sur une cabane isolée. Il frappe à la porte, et un vieil homme d’origine chinoise lui ouvre :
— Je suis perdu… Pourrais-je passer la nuit ici ?
— Bien sûr ! Mais à une seule condition : si vous touchez ne serait-ce qu’un cheveu de ma fille, vous subirez les trois pires supplices chinois.
L’homme accepte sans hésiter. Après tout, il imagine une demoiselle ridée et grincheuse, bien loin de l’effrayer.

La tentation est plus forte que la prudence
À table, il découvre avec stupeur une jeune femme d’une beauté éblouissante… qui, en plus, lui lance des regards appuyés toute la soirée. Malgré l’envie qui le titille, il se retient — l’avertissement du vieillard résonne encore dans sa tête.
Mais la nuit, seul dans sa chambre, ses bonnes résolutions s’effondrent. Il se lève, rejoint la fille en catimini, puis regagne son lit sans un bruit.
Le réveil est… lourd
Au matin, il ouvre les yeux et sent une pression énorme sur sa poitrine. Un bloc de pierre massif repose sur son torse, accompagné d’un petit mot :
« Premier supplice chinois : grosse pierre posée sur la poitrine. »
Soulagé, il ricane : « C’est tout ? » Il soulève la pierre et la jette par la fenêtre.
Le piège se referme… littéralement
En se penchant, il aperçoit une deuxième note collée au rebord :
« Deuxième supplice chinois : grosse pierre attachée à votre testicule gauche. »
Paniqué, il voit le fil se tendre sous le poids de la pierre en chute libre. Préférant quelques fractures à une castration impromptue, il bondit par la fenêtre.
En plein vol, il aperçoit une dernière pancarte plantée au sol :
« Troisième supplice chinois : testicule droit attaché au pied du lit. »