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Une sentence glaciale pour un crime impensable : Dahbia Benkired condamnée à perpétuité incompressible

Le 24 octobre 2025, la justice française a tranché dans le vif. Sans concession. Sans espoir. Pour la première fois de son histoire, une femme a été condamnée à la peine la plus sombre du code pénal : la réclusion criminelle à perpétuité incompressible. Dahbia Benkired paiera jusqu’à la fin de ses jours pour ce qu’elle a fait à Lola Daviet, 12 ans, en octobre 2022. Une fillette transformée en victime d’un rituel de violence tellement barbare qu’il défie l’entendement.

Un procès au cœur des ténèbres

Pendant six jours, la cour d’assises de Paris a plongé dans l’abîme. Les détails ont été insoutenables. L’avocat général les a résumés d’une phrase : « Pendant une heure et demie, on a arraché à Lola son enfance, sa féminité, son humanité. » Viol. Torture. Meurtre. Trois mots trop doux pour décrire ce qui s’est réellement passé.

Les experts ont été clairs : Dahbia Benkired est dangereuse. Très dangereuse. Aucun repentir. Aucune empathie. Juste un regard vide et des propos qui glacent le sang : « Je l’ai vue comme un mouton. Je voulais faire comme au bled. »

La première femme sous le poids de la perpétuité incompressible

Elle rejoint une liste maudite : Michel Fourniret, Salah Abdeslam… Mais elle est la première femme. La huitième personne seulement en France à subir cette peine absolue. Pas de libération conditionnelle avant trente ans. Pas de réduction. Rien. En 2052, à 54 ans, elle demandera peut-être grâce. Mais la loi ne lui en laissera aucune.

Le silence de la condamnée, les larmes des vivants

Quand le verdict est tombé, Dahbia Benkired n’a pas cillé. Pas un frémissement. Pas un mot. Comme si elle n’était déjà plus là — ou comme si elle ne l’avait jamais été.

À quelques mètres, Delphine, la mère de Lola Daviet, pleurait en silence. Thibault, son frère, serrait les poings. Tous deux portaient ce t-shirt blanc, avec le visage souriant de Lola. Un sourire figé dans le temps, arraché à la vie bien trop tôt.

« On a restauré la vérité », a dit Thibault, la voix brisée. « Merci à la justice », a murmuré Delphine. Leurs mots portaient moins la joie que le soulagement d’un cauchemar qui, enfin, trouve une forme de fin.

Pourquoi aucune clémence ?

Parce que certains actes dépassent l’explication. Parce que la cruauté n’a pas de justification. Le parcours chaotique de Dahbia Benkired n’a pas ému la cour. Il n’excuse rien. Il ne diminue en rien l’horreur.

La justice a choisi la seule réponse possible face à l’irréparable : l’enfermement total. Sans illusion. Sans issue. Une sentence noire, pour un crime noir.

Karim

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