Blague IKEA virale : “J’attends l’autobus…” – Le technicien, l’armoire et le mari jaloux
La chute est excellente !
Une cliente achète une armoire IKEA et décide, fièrement, de la monter toute seule — pas question d’attendre son mari. Elle étale le plan, sort les tournevis, et s’y met avec méthode. Une heure plus tard… mission accomplie !
Mais soudain — BOUM. Un bus passe dans la rue. Le sol vibre. L’armoire tremble… et s’écroule en un tas de planches.
Pas découragée, elle relève ses manches. Cette fois, elle double les vis, ajoute de la colle forte, renforce les angles. Nouvelle tentative. Victoire temporaire… jusqu’au prochain passage du bus. Tremblement. Effondrement. Même scénario.
À bout, elle appelle le S.A.V. IKEA. Un technicien débarque en moins d’une heure. Costume IKEA, sacoche à outils, et… un mégot qu’il laisse traîner dans le cendrier.
— “Pas de souci, Madame. Je vais remonter ça proprement. On va voir d’où vient le problème.”
En 15 minutes chrono, l’armoire est parfaite. Droite. Solide. Impeccable.
— “Mais… où est le problème ?” demande-t-il, perplexe.
— “Attendez… le bus arrive.”
VROUM. Le sol vibre. L’armoire frémit… et s’effondre comme un château de cartes.
Le technicien, vexé, jure :
— “Ça suffit. Je vais tout refaire — mais en mode guerre totale.”
Clous, colle industrielle, renforts en métal, marteau… il y va franchement. L’armoire ressemble à un bunker suédois.
Le bus repasse.
Vibration. Tremblement. CRASH.
Pire qu’avant. En morceaux.
— “PUTAIN. J’vais comprendre ce qui se passe.”
Il prend une décision radicale :
— “Je me mets DEDANS. Comme ça, je vois tout de l’intérieur.”
Il grimpe dans l’armoire, referme les portes… et attend.
C’est là que le mari rentre du travail.
Il voit la sacoche IKEA. Le mégot. L’armoire neuve. Et là… l’angoisse.
— “Tu me trompes, c’est ça ?! C’est qui ce mec ?! Où est-il ?!”
Il fonce vers l’armoire, l’ouvre d’un coup sec…
… et tombe nez à nez avec le technicien, recroquevillé entre deux étagères.
— “Alors ?! Qu’est-ce que vous foutez là ?!”
Le technicien, sans une once de stress, répond calmement :
“Ben… vous n’allez pas me croire… mais j’attends l’autobus.”