Le JT de 20h de France 2 bouleversé : Léa Salamé débarque avec un salaire choc
Elle prend la suite d’Anne-Sophie Lapix au journal de 20h de France 2. Mais c’est surtout son salaire à six chiffres qui fait sensation. Léa Salamé arrive avec un pactole qui dérange. Une nomination qui secoue les coulisses de la télévision publique.
25 000 euros par mois : le chiffre qui fâche
C’est officiel : Léa Salamé touchera environ 25 000 euros nets chaque mois pour présenter le JT de France 2. Un montant qui en jette. Surtout quand on sait qu’elle aurait pu gagner le double en chaîne privée. BFMTV lui proposait rien moins que 50 000 euros mensuels.
Elle a préféré rester dans le giron de France Télévisions. Une décision stratégique ? Sans doute. Mais qui ne passe pas inaperçue. Très loin de là. Sur les réseaux sociaux, les commentaires fusent. Certains internautes s’insurgent. Ils trouvent ce salaire indécent.
La colère monte du côté de la droite
Le député RN Julien Odoul n’y est pas allé de main morte. Sur X, il a lancé : « Quand on apprend que nos impôts payent la journaliste de gauche Léa Salamé 25.000 euros par mois ». Une phrase suivie d’une mise en garde cinglante : « Vivement la privatisation pour arrêter cette humiliation et cette spoliation ! »
Sa réaction résume bien le climat actuel. Entre ceux qui défendent le service public et ceux qui veulent le démanteler, Léa Salamé est devenue un symbole. Un symbole de ce que certains considèrent comme un gaspillage.
Une carrière en dents de scie
Léa Salamé quitte la matinale de France Inter après huit années passées aux côtés de Nicolas Demorand. Une collaboration marquante. Mais elle a dû laisser tomber pour se concentrer sur sa nouvelle mission.
Elle continue aussi d’animer « Quelle époque ! » sur France 2. Une émission produite par sa propre boîte, Marinca Productions. Avant cela, elle travaillait avec Laurent Ruquier dans « On est en direct ». Une expérience formatrice qui l’a propulsée dans les sphères médiatiques.
France Télévisions face au défi
Cette nomination arrive à un moment critique. France Télévisions doit faire face à la concurrence des chaînes privées. Et surtout, aux critiques récurrentes sur ses finances. Le choix de Léa Salamé s’inscrit dans une stratégie de modernisation.
Mais ce choix a un coût. Celui d’une polémique qui risque de suivre la journaliste dans son nouveau rôle. Derrière ce débat sur le salaire, se cache une question plus large : celle de la place et du financement de l’information publique en France.