Franchement explosif : Franck Dubosc décide de tout lâcher sur les réseaux
Il pensait avoir tourné la page. Pourtant, cinq ans après ses déclarations controversées sur les gilets jaunes, Franck Dubosc se retrouve de nouveau au cœur d’une tempête numérique. Cette fois, ce n’est pas un journaliste ni un politicien qui le relance, mais des internautes anonymes. Et le comédien, visiblement irrité, n’a pas hésité à leur répondre avec une rare mordant. Ce qui devait être un simple passage sur les réseaux avant un vol s’est transformé en règlement de comptes public. Le ton est sec, cinglant, parfois ironique. Et surtout, il montre que même les stars du rire ont leurs limites.
Franck Dubosc et la politique : une histoire mal embarquée
En 2019, Franck Dubosc faisait une confidence dans GQ : “Avec les gilets jaunes, je me suis embarqué dans quelque chose que je ne maîtrisais pas.” À l’époque, l’acteur de la série Camping reconnaissait avoir franchi une ligne invisible. “Quand on est un clown, on évite la politique”, disait-il. Une maxime qu’il semblait avoir gravée dans le marbre.
Pourtant, certains n’ont pas oublié. Ni pardonné. Pendant la crise du Covid-19, ses prises de parole sur les gestes barrières avaient relancé les critiques. Beaucoup y ont vu une récidive. Un retour en force dans un domaine qu’il avait lui-même déclaré tabou pour lui.
Un tweet ressorti de l’ombre, une réponse cinglante
C’est sur X, l’ancien Twitter, qu’un internaute a décidé de raviver les braises. Il a partagé une vidéo de 2020 dans laquelle Dubosc s’exprime sur les mesures sanitaires. Accompagné d’un commentaire acerbe : “Ni oubli ni pardon.” Et d’ajouter, avec mépris : “Décidément, lui, particulièrement, manque toujours l’occasion de la fermer.”
Un an après ce tweet, Dubosc le découvre. Et il réagit. Pas avec diplomatie, mais avec un franc : “Pauvre idiot.” Une réponse courte, brutale, mais efficace. Elle fait le tour des réseaux. Et attire d’autres voix.
La polémique s’emballe : quand le troll devient cible
Un second utilisateur intervient, cette fois en moquant le comédien : “Mdr il revient insulter un mec un an après.” Une remarque censée ridiculiser Dubosc. Sauf que celui-ci ne se laisse pas faire.
“Comme quoi, on vous lit pas souvent…” lance-t-il, avec une pointe d’ironie. Puis il assène le coup de grâce : “Vous, vous n’avez que ça à foutre, nous c’est quand on glande. Là par exemple, je glande dans un aéroport et je te donne un peu d’importance.”
Un échange qui, malgré son ton sarcastique, révèle une vérité : les personnalités publiques sont constamment sous surveillance. Et chaque mot, même ancien, peut être exhumé, jugé, puni.
Le silence médiatique, ou la fin de la polémique ?
Depuis cette série d’échanges, Franck Dubosc n’a pas réitéré ses commentaires. Aucune interview, aucun post supplémentaire. Comme s’il avait dit ce qu’il avait à dire, puis refermé le dossier. Pourtant, la discussion continue dans son dos. Sur les forums, dans les commentaires, les avis sont partagés.
Certains saluent son franc-parler, son refus de s’excuser indéfiniment. D’autres y voient une attitude arrogante, déconnectée du public. Une chose est sûre : l’affaire des gilets jaunes continue de hanter certains artistes, même ceux qui pensaient l’avoir enterrée.
